Air intérieur : les bureaux aussi !

 

Nous passons 80% de notre temps au sein de milieux clos, toute typologie confondue. Pour certains actifs, la part de présence au sein des locaux de bureau est plus que significative. Aussi, au même titre que les logements privatifs ou Etablissements Recevant du Public, la qualité de l’air intérieure des locaux de bureau constitue une préoccupation d’ordre sanitaire…

 

Sources et effets d’une mauvaise qualité de l’air

Outre les matériaux de construction, de décoration et l’environnement du bâtiment, il existe des sources spécifiques de pollution dans les immeubles de bureaux :

Une mauvaise qualité de l’environnement intérieur (qualité de l’air, niveau sonore, éclairage, température, etc.) peut être à l’origine d’une détérioration de la santé (irritations, nausées,  asthme, allergies, maux de tête, somnolence, syndrome des bâtiments malsains*, etc.) mais également d’une altération du bien-être.

Ces effets sur la santé et le confort peuvent en outre se répercuter sur l’efficience: baisse de concentration, de motivation, d’efficacité, absentéisme….

*Le « syndrome des bâtiments malsains » (défini par l’OMS comme « excès de plaintes et de symptômes non spécifiques [céphalées, troubles de la concentration] survenant chez les occupants de bâtiments non industriels »)  pourrait concerner 30% des bâtiments dans le monde : domiciles, lieux de travail, d’apprentissage, de soin, d’accueil, de loisir…. Bien que le problème ait un caractère multifactoriel, la qualité de l'air est soupçonnée d'en être l'une des causes.

 

 

Les bons gestes

Au-delà des obligations de ventilation, automatique ou naturelle, imposées par le Code du travail (R-4222-1), il est important de respecter certaines recommandations pour éviter les problèmes de qualité de l'air intérieur :

 

 

Pour en savoir plus :