Air intérieur : ni trop humide… ni trop sec !

 

Aussi important que la température, le taux d’humidité d’un intérieur doit se situer entre 40 et 60%. Si un surplus d’humidité est mauvais pour la santé, une pièce trop sèche l’est tout autant. L’utilisation des chauffages en hiver peut parfois être la cause d’un air trop sec dans les logements. Quels sont les signes d’un air trop sec et comment l’éviter ?

 

En hiver, l’air est plus sec

Dans un logement, augmenter la température du chauffage peut faire baisser le taux d’humidité ambiante. Et de l’humidité, il en faut dans un intérieur, pour que l’air soit sain et respirable. Ni trop peu, ni pas assez : il faut veiller à ce que ce taux d’humidité (ou hygrométrie) soit maintenu à un certain niveau.

Actuellement, avec le retour du froid et les prémices de l’hiver, on a tendance à monter le chauffage et assécher l’air par la même occasion. Dans certains logements, le taux d’humidité a alors tendance à baisser et peut passer sous la barre des 40%.

Si le taux d’humidité ne se mesure pas directement mais à l’aide d’un appareil (hygromètre), certains signes sont révélateurs :

Parfois, un air trop sec dans une pièce peut aussi avoir des conséquences sur la santé :

  

Les bons gestes pour rehausser (un peu) le taux d’humidité

Pour augmenter naturellement le taux d’humidité de son logement, il faut laisser l’air humide se propager :

Attention à ne pas apporter une humidité trop excessive dans le logement ! Au risque de favoriser le développement d’allergènes (moisissures, acariens…) en plus de la dégradation de certains matériaux (peintures, joints…).

 

 

Pour en savoir plus

 

Sources

Planet.fr (ici et ici)