L’été, la saison du barbecue

 

Dans le milieu de la qualité de l’air, l’été est sans conteste la saison de l’ozone… mais pas que ! C’est aussi, pour beaucoup d’entre nous, la saison des grillades au barbecue. Brochette de conseils pour bien choisir son barbecue tout en limitant les impacts sur la qualité de l’air de nos prochaines soirées d’été !

 

Le barbecue au charbon

Les barbecues au charbon de bois, bien que très répandus, mettent en œuvre une combustion et de fait, émettent tout un cocktail de substances polluantes : particules fines, dioxyde de carbone, monoxyde de carbone, oxydes d’azote, composés organiques volatils (COV), hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP)…

Et au-delà de la combustion du charbon…

Outre les risques dus aux suies, un risque provient du gras qui s’écoule et s’enflamme au contact des braises, carbonisant l’aliment. Ces graisses vont se dégrader au contact des braises et les produits formés sont cancérigènes. De plus, la combustion des aliments demeure incomplète, ce qui produit des composés toxiques et cancérigènes, notamment des HAP. Ces produits sont emportés par les fumées et viennent se fixer à la nourriture ou sont directement adsorbés dans les poumons des convives. (source)

 

Les bons gestes

 

Le barbecue au gaz

Ce type de barbecue est soit relié au gaz de ville lorsque c'est possible, soit, cas le plus répandu, à une bombonne de gaz ou bouteille de propane. Les barbecues au gaz ont l’avantage d’offrir une combustion plus propre que celle de leurs homologues qui fonctionnent au charbon, en plus de provoquer moins de déchets.

 

Les bons gestes

 

Le barbecue électrique

Très facile d’utilisation, ce type de barbecue a également l’avantage de ne pas générer de flammes. Avec un mode de cuisson exempt de toute émission polluante dans l’air, les barbecues électriques observent un avantage majeur en termes de qualité de l’air mais aussi de sécurité à condition d’un entretien adapté et régulier.

Malgré ces avantages, ces appareils électriques présentent à l’inverse le défaut d’être souvent de grands consommateurs d’énergie…

 

Les bons gestes

 

 

 

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