Mon habitat est isolé pour éviter les fuites thermiques.
Je choisis mes matériaux de construction selon leur label.
Je profite de la chaleur des rayons du soleil dans mes pièces à vivre orientées au sud.
J’opte pour les sources d’énergie alternatives: réseau de chaleur local, biomasse, énergie solaire, éolienne, géothermie…
J’utilise des appareils électriques peu gourmands, de classe énergétique A.
Je ne laisse jamais les appareils en veille.
Je suis équipé d’ampoules basse consommation.
J’ai installé un poêle à bois labellisé « Flamme verte ».
J'ai opté pour une chaudière à condensation.
J’emploie un combustible bois de bonne qualité : bûches, plaquettes et granulés certifiés.
J’entretiens régulièrement mon installation.
Je choisis des produits en vrac, en recharge ou en format familial pour limiter les emballages.
Je fais mes courses avec des sacs réutilisables.
Je trie mes déchets et je composte mes déchets organiques.
Je ne brûle pas mes déchets verts, je préfère le compost ou la valorisation en déchetterie.
Je conduis avec souplesse, j’évite les accélérations et les freinages brutaux.
Je n’utilise pas la climatisation systématiquement.
Mon véhicule est régulièrement entretenu. Par exemple, je change le filtre à air une fois par an pour éviter la surconsommation, la pollution, et même la panne moteur.
J’achète un véhicule bien classé sur l’étiquette énergie : il consommera moins de carburant et rejettera moins de polluants.
J’effectue mes petits trajets à pieds ou en vélo.
Je favorise les transports en commun.
Je limite l’utilisation de mon véhicule et je pratique le covoiturage.
J’effectue mes travaux de bricolage en été, de manière à pouvoir aérer mon logement.
Je bricole en extérieur lorsque c’est possible.
J’achète des peintures qui émettent peu de COV.
Je choisis les produits qui émettent le moins de polluants.
J’utilise des produits naturels pour le nettoyage.
Je privilégie les produits éco-labellisés, qui limitent leur impact sur l’environnement.
J’utilise seulement les produits qui me semblent indispensables.
Je ne fais pas de mélanges et je stocke mes produits par compatibilité, dans un endroit dédié et aéré.
Je referme les récipients pour éviter que les produits ne s’évaporent.
Je privilégie les vaporisateurs aux bombes aérosols.
Je respecte les doses et précautions d’emploi de mes produits d’entretien.
J’aère quotidiennement chaque pièce pendant au moins 10 minutes.
J’aère en toutes saisons, aux moments de la journée les moins pollués.
Je ne bouche pas les entrées d’air, grilles et bouches d’extraction de mon logement. Je les dépoussière et les nettoie régulièrement.
Je ne bloque pas les systèmes de ventilation mécanique contrôlée (VMC).
Je ventile ma salle d’eau sans fenêtre.
J’aère lorsque j’utilise certains produits : nettoyants ménagers, essence, colle, vernis, insecticide, peinture, bombes aérosols… ainsi que les pièces enfumées par le tabac.
Je fais vérifier régulièrement mes installations de chauffage.
Je n’utilise pas des appareils de chauffage d’appoint en continu.
Je n’utilise pas de groupe électrogène à l’intérieur de mon logement.
Je n’aggrave pas les effets de la pollution en ajoutant des facteurs irritants tels que tabac, solvants, peintures…
J’évite les parfums d’intérieur, les bâtons d’encens, les bougies parfumées, les sprays qui contiennent des substances chimiques nocives
Si je fume, je le fais dehors.
Aérer permet de diluer la pollution, mais pas de l’éliminer. Seule la réduction des émissions de polluants à la source règle durablement le problème. Les gestes que j’adopte dans mon logement sont aussi bien valables au bureau, à l’école ou dans n’importe quel autre espace clos!
J’aère uniquement quand je roule en périphérie.
J’évite les heures de pointe et les embouteillages.
Je ne suis pas de trop près les gros camions, qui émettent beaucoup de particules et d’oxydes d’azote.
J’ai remplacé mon désodorisant par un diffuseur d’huiles essentielles.
Je ne fume pas dans l’habitacle.
Je remplace mon filtre habitacle (ou filtre à pollens) dans les temps.