Lexique

Association Agréée de Surveillance de la Qualité de l'Air.

Désigne l'ensemble des retombées au sol de dépôts acides, sous forme sèche ou humide. Les polluants en cause sont les acides sulfurique et nitrique résultant des oxydes d'azote, et dans une moindre mesure l'acide chlorhydrique. Les retombées acides touchent des zones étendues et éloignées des sources (1/3 des émissions sont déposées au-delà de 1 000 kilomètres).

Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie.

Désigne la suspension dans un milieu gazeux de particules solides et/ou liquides présentant une vitesse de chute négligeable.

L'air extérieur de la troposphère, à l'exclusion des lieux de travail tels que définis à l'article R. 4211-2 du code du travail et auxquels le public n'a normalement pas accès.

Aluminium. Polluant de la famille des métaux lourds.

Qui relève de l'Homme, on parle alors de pollution anthropique (due aux activités des êtres humains).

Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique.

Arsenic. Polluant de la famille des métaux lourds.

Couche gazeuse qui enveloppe la Terre ainsi que d’autres astres.

Base de Données sur la Qualité de l’Air.

(C6H6) liquide incolore, volatil, combustible, obtenu à partir du pétrole ou de la houille (c'est un Composé Organique Volatil : COV).

Utilisation de végétaux comme indicateurs de présence de polluants dans l'air.

Benzène - Toluène - Ethylbenzène - (Ortho, Méta et Para) Xylènes. Groupe de polluants de la famille des Composés Organiques Volatils (COV).

Benzène - Toluène - Xylènes. Souvent utilisé comme abréviation de BTEX.

Mesure de manière temporaire la qualité de l'air en un point ou sur une aire géographique en vue de disposer d'une information sur les niveaux de la qualité de l'air.

Qui peut provoquer l'apparition d'un cancer.

Représentation de la pollution sous forme spatiale.

Formule chimique du cadmium. Polluant de la famille des métaux lourds.

Centre d'Etudes et de Recherches Economiques sur l'Energie.

Centre d'Etudes Technique de l'Équipement.

Formule chimique du méthane.

Centre Inter Régional d'Epidémiologie d'Intervention.

Centre Interprofessionnel Technique d’Etudes de la Pollution Atmosphérique.

Centre National de Recherche de la Météorologie.

Formule chimique du monoxyde de carbone.

Formule chimique du dioxyde de carbone.

COmité FRançais d'ACcréditation.

Fait de brûler ou de dégager de la chaleur.

Nom d'une des banques de données lancées par la Commission Européenne en 1985. Comme son nom l'indique CORINAIR, est la banque de données de l'air. Elle en est à sa troisième version (1985, 1990,1995), existent aussi : Corine-Sol, Corine-Erosion côtière, Corine-Eau et Corine-Biotopes (CORINE : Coordination des Informations sur l'Environnement).

Zone de la haute atmosphère (stratosphère), relativement riche en ozone, qui absorbe les rayonnements ultraviolets du soleil. L'ozone se forme dans la stratosphère à partir de la transformation des molécules d'oxygène par le rayonnement solaire entre 15 et 60 km d'altitude, avec un maximum de concentration situé entre 20 et 30 km. Bien qu'à de faibles concentrations (de l'ordre de la partie par millions) l'ozone stratosphérique joue un rôle très important en absorbant une grande partie des rayons ultraviolets (cancérigènes) et les empêche d'atteindre la surface de la terre.

Couche atmosphérique située près du sol, dans laquelle la dispersion des polluants se fait rapidement. L’épaisseur de cette couche varie en fonction de la température et des conditions de stabilité de l’atmosphère.

C'est la partie de la stratosphère contenant une quantité relativement importante d'ozone (concentration de l'ordre d'un pour cent mille). Cet ozone est produit par l'action du rayonnement solaire sur les molécules de dioxygène à haute altitude (entre 20 et 50 km d'altitude).

Sigle pour Composés Organiques Volatils.

Sigle pour Composés Organiques Volatils Non Méthaniques.

Formule chimique du chrome.

Formule chimique du cuivre. Composé de la famille des métaux lourds.

Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales.

Direction Départementale de l'Equipement.

Masse totale de polluants qui est transférée de l'atmosphère aux surfaces (c'est-à-dire sol, végétation, eau, bâtiments, etc.) sur une zone donnée dans une période donnée.

Composés organiques polycycliques halogénés. On distingue 2 familles, les polychlorodibenzodioxines (PCDD) et les polychlorodibenzofuranes (PCDF). Toutes les dioxines n'ont pas la même toxicité, la dioxine la plus toxique est la tetrachlorodibenzo-para-dioxine ou 2.3.7.8-TCDD.

Indication générale de politique, liant les Etats membres de l'Union Européenne quant aux résultats à atteindre dans une période déterminée, mais laissant aux gouvernements nationaux le choix de la méthode de mise en œuvre (les directives sont généralement adoptées par le Conseil et le Parlement Européen).

Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales.

Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement.

Direction Régionale de l'Industrie, de la Recherche et de l'Environnement.

L'effet de serre, phénomène naturel, est le réchauffement de la surface de la Terre par les rayons du soleil. Les deux tiers des rayons solaires sont absorbés par le sol alors que le tiers restant de rayons est renvoyé dans l'espace sous forme de rayon infrarouge ou, pour une petite partie, reste piégée par une couche de gaz (Gaz à effet de serre) située dans la basse atmosphère. Ce qui conduit à un réchauffement de la surface de la Terre. Sans l'effet de serre, la température moyenne terrestre approcherait les -18°C alors qu'elle se situe, grâce à ce phénomène, à +15°C.

Rejet d’effluent gazeux dans l’atmosphère à partir d’une source anthropique ou naturelle (ex : cheminée d’usine ; volcan…).

Ainsi appelées parce qu'elles ne sont pas fossile, comme le charbon ou le pétrole, dont les stocks seront épuisés un jour. Elles sont au nombre de 5 : - l'énergie solaire, provient du rayonnement solaire qu'il faut capter, puis convertir d'abord en chaleur et ensuite en électricité, - l'énergie éolienne, utilisée au moyen d'éoliennes, qui ont remplacé les moulins à vent d'autrefois, - l'énergie hydraulique, est produite par l'écoulement de l'eau des rivières, fleuves et torrents, - la biomasse, il s'agit de la matière d'origine végétale ou animale, cela peut être le bois, les biocarburants ou le biogaz, - la géothermie, c'est l'exploitation de la chaleur contenue dans le sol.

action d'étendre en dispersant.

 Etablissement recevant du public

exposition de courte durée.

exposition persistante, continue ou discontinue, se produisant sur une longue période (comprise entre plusieurs années et la vie entière).

Fonds Européen pour le DEveloppement Régional.

regroupement de l'ensemble des AASQA de France.

fumées noires.

Fuel Domestique.

Substance propre à détruire les champignons.

charbon, pétrole, gaz naturel.

Les gaz à effet de serre (GES) sont des composants gazeux qui absorbent le rayonnement infrarouge émis par la surface terrestre, contribuant à l'effet de serre. L'augmentation de leur concentration dans l'atmosphère terrestre est un facteur soupçonné d'être à l'origine du récent réchauffement climatique. Les principaux gaz à effet de serre qui existent naturellement dans l'atmosphère sont : - la vapeur d'eau (H2O) ; - le dioxyde de carbone (CO2) ; Un gaz ne peut absorber les infrarouges qu'à partir de trois atomes par molécule, ou à partir de deux si ce sont deux atomes différents.

Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat.

hydrogène sulfuré.

hydrocarbures aromatiques monocycliques.

sigle pour Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques.

Hydrocarbures.

Acide chlorhydrique : chlorure d'hydrogène, gaz incolore d'odeur piquante, extrêmement soluble dans l'eau, qui attaque presque tous les métaux.

Hydrocarbures méthaniques.

Hydrocarbures Méthaniques et Hydrocarbures Non Méthaniques.

Hydrocarbures non méthaniques.

hydrocarbures totaux (HCT = HCM + HCNM).

Se dit d'un produit qui détruit les « mauvaises herbes ».

les heures sont exprimées en Temps Universel (TU) :

formule chimique du mercure. Polluant de la famille des métaux lourds.

Composé binaire de carbone et d'hydrogène, comme le pétrole et le gaz naturel.

Soluble dans l'eau.

Installations Classées pour la Protection de l’Environnement.

Institut Francais de l'ENvironnement.

Institut Géographique National.

Concentration dans l’air ambiant éloigné de sa source d’émission, résultant des émissions et des conditions météorologiques.

Indice de qualité de l'air français.

Indice de qualité de l’air français pour une zone de moins de 100 000 habitants. Cet indice ne permet pas de mettre en évidence des phénomènes localisés de pollution mais une pollution globale de fond.

Institut National de l'Environnement Industriel et des Risques.

Se dit d'un produit utilisé pour détruire les insectes nuisibles.

Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques.

Inversion thermique, produite par le refroidissement de la partie supérieure d'une couche nuageuse. Ce refroidissement est dû au rayonnement du sol, ou d'une surface de neige ou de glace, la nuit.

Sous nos latitudes, la température dans l'air décroît avec l'altitude jusqu'aux environs de 9 à 10 km en moyenne. Cependant certaines situations présentent des couches d'air où le phénomène est inversé : la température croît avec l'altitude, d'où le terme d'inversion thermique ou inversion de température. L'inversion de température peut aussi provenir d'une subsidence, c'est-à-dire d'un affaissement d'une masse d'air, sur une vaste région, qui se comprime, s'échauffe et augmente ainsi sa stabilité initiale.

Institut de Veille Sanitaire.

Ilots Regroupés pour des Indicateurs Statistiques (les communes françaises d’au moins 10 000 habitants et la plupart de celles de 5 000 à 10 000 habitants ont été découpées en petits quartiers).

Journal Officiel.

Loi sur l’Air et l’Utilisation Rationnelle de l’Énergie.

Laboratoire de Chimie de Provence.

Laboratoire Central de Surveillance de la Qualité de l'Air.

Laboratoire d'Etude des échanges Particulaires aux Interfaces.

végétal composite formé par l'association d'une algue microscopique et d'un champignon filamenteux qui vivent en symbiose.

Concentration minimale en deçà de laquelle la présence d’un polluant est détectée mais dont la mesure relevée ne peut être quantifiée avec une précision acceptable. Elle est normalement 3 fois au dessus de la limite de détection.

Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’énergie.

Chimiste russe (1834-1907) auteur de la classification périodique des éléments, l'un des fondements de la chimie moderne.

Station de MEsures des Retombées Atmosphériques. Réseau de mesure créé pour surveiller les retombées des pluies acides. Il existe 10 stations françaises dans le réseau MERA et 100 stations en Europe.

Mesure effectuée, soit en continu, soit par échantillonnage aléatoire, afin de déterminer les niveaux de polluants.

Mesure effectuée à un endroit fixe, soit en continu, soit par échantillonnage aléatoire, afin de déterminer les niveaux conformément aux objectifs de qualité des données.

Mesure qui respecte des objectifs de qualité des données moins stricts que ceux qui sont requis pour les mesures fixes.

Ils ont d'abord été définis par un découpage du tableau de Mendeleïev faisant apparaître un bloc de 36 cases essentiellement occupé par des métaux, à deux exceptions près, l'arsenic (As) et l'antimoine (Sb). Puis, ont pris l'habitude d'être désignés sous le nom de « métaux lourds » tous les métaux toxiques comme notamment le mercure (Hg), le plomb (Pb), le cadmium (Cd), le béryllium (Be).

Milligramme par mètre cube (millième de gramme de polluant par mètre cube d’air).

Multiple d'une unité de mesure égal à un millionième (10-6).

Microgramme par mètre cube (millionième de gramme de polluant par mètre cube d’air).

Ancienne appellation, non conforme aujourd'hui, de micromètre.

Création d’un modèle mathématique statistique applicable à la qualité de l’air.

Groupement d'atomes qui représente, pour un corps pur qui en est constitué, la plus petite quantité de matière pouvant exister à l'état libre.

Les moyennes journalières sont calculées à partir des moyennes horaires. Pour qu'une moyenne journalière soit considérée comme valide, il faut au moins disposer de 75 % des données horaires dans la journée dans la journée considérée.

Formule chimique du protoxyde d’azote.

Nanogramme (10-9 g) par mètre-cube. Unité de concentration utilisée pour quantifier la masse d'un polluant par mètre-cube d'air, pour les polluants dont les concentrations sont généralement inférieures au µg/m3.

Formule chimique de l’ammoniac.

Formule chimique du Nickel. Polluant de la famille des métaux lourds.

Formule chimique du monoxyde d'azote.

Formule chimique du dioxyde d'azote.

Formule chimique de l’oxyde d'azote.

Formule chimique de l’ozone.

Niveau de concentration de substances polluantes dans l'atmosphère, à atteindre dans une période donnée, et fixé sur la base des connaissances scientifiques, dans le but d'éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs de ces substances pour la santé humaine ou l'environnement » (loi sur l'air et l'utilisation rationnelle de l'énergie du 30 décembre 1996).

Organisation Mondiale de la Santé.

Office de Protection contre les Rayonnements Ionisants, c'est un service technique des Ministères chargés de la Santé et du Travail, qui emploi médecins, biologistes, ingénieurs et techniciens.

Observatoire Régional de la Santé.

Corps résultant de la combinaison de l'oxygène avec un autre élément, par exemple les oxydes d'azote, de carbone, etc.

Formule chimique du plomb, polluant de la famille des métaux lourds.

Le percentile indique le nombre de jours ou d'heures pendant lesquels les mesures observées doivent être inférieures aux valeurs limites indiquées.

Valeur respectée par 90,4 % des données de la série statistique considérée (ou dépassée par 9,6 % des données).

Valeur respectée par 99,2 % des données de la série statistique considérée (ou dépassée par 0,8 % des données).

Valeur respectée par 99,7 % des données de la série statistique considérée (ou dépassée par 0,8 % des données).

Valeur respectée par 99,8 % des données de la série statistique considérée (ou dépassée par 0,2 % des données).

Qui concerne la préservation de la santé des végétaux.

(PCET) est un projet territorial de développement durable dont la finalité première est la lutte contre le changement climatique institué par le Plan Climat National et repris par les lois Grenelle 1 et le projet de loi Grenelle 2. Il vise à :

Est un outil de définition et de coordination des politiques de déplacements dans le périmètre urbain des agglomérations de plus de 100 000 habitants. L'objectif est notamment d'aménager la voirie dans le but de modérer l'usage de la voiture par report sur les transports collectifs et non polluants.

Vise, par un renforcement des mesures préventives, à ramener la concentration en polluants atmosphériques sous les valeurs limites dans les agglomérations de plus de 250 000 habitants et dans les zones où ces valeurs limites sont susceptibles d'être dépassées. Il est élaboré sous la responsabilité des Préfets de département.

Établit le bilan de la pollution atmosphérique et fixe les orientations pour atteindre les objectifs de qualité de l'air à l'échelle de la région. Ce document, initialement élaboré sous la responsabilité du Préfet de région assisté d'un comité régional, est réévalué au maximum tous les cinq ans. Depuis 2004, la responsabilité de cette évaluation a été confiée au Conseil Régional. Le plan régional pour la qualité de l'air a été adopté en Bourgogne le 31 janvier 2001. Il présente les principales recommandations pour améliorer la qualité de l'air et constitue une référence régionale importante sur les multiples sources et les quantités d'émissions polluantes en Bourgogne.

Particules dont le diamètre aérodynamique est inférieur à 10 µm.

Particules dont le diamètre aérodynamique est inférieur à 2.5 µm.

Toute substance présente dans l'air ambiant et pouvant avoir des effets nocifs sur la santé humaine ou sur l'environnement dans son ensemble.

Composé rejeté dans l’atmosphère directement par la source de pollution.

Polluant résultant de la transformation de polluants primaires par différentes réactions chimiques.

Niveau représentatif de l'exposition de la population urbaine en général.

Composé qui en précède un autre dans une séquence métabolique. Exemple : le dioxyde d’azote est un précurseur de l’ozone.

Substance qui contribue à la formation d'ozone troposphérique.

Prélèvement formant un support temporel discontinu quelle que soit la durée des prélèvements individuels répartis de manière aléatoire sur la période considérée.

Prélèvement formant un support temporel continu quelle que soit la durée des prélèvements individuels (quart-horaire, horaire, journalier, hebdomadaire, toutes les deux semaines, mensuel...).

Appareil permettant le prélèvement d’un polluant dans l’air.

Utilisation d’un modèle spécifique afin d’appréhender l’évolution dans le temps d’un phénomène complexe (par exemple, la qualité de l’air).

Particules en suspension.

 Qualité de l'air intérieur

Radon (se dit aussi pour la mesure de la radioactivité radon).

Ensemble des appareils techniques fixes ou mobiles permettant la surveillance des polluants dans l'air.

Étoile représentée sur les compas, les cartes, etc., dont les trente-deux branches (dites aires de vent) indiquent les points cardinaux et intermédiaires, divisant la circonférence en trente-deux rhumbs de 11°15’ chacun.

Rayonnement solaire en Watts par mètre carré (W/m2).

Seuil d’alerte.

Formule chimique du sélénium.

Limite au-delà de laquelle les conditions sont changées.

Concentration en polluant au-delà de laquelle une alerte à la population peut être déclenchée.

Concentration en polluant au-delà de laquelle une procédure d’information et de recommandation à la population peut être déclenchée.

Système d'Information Géographique.

Seuil d’information et de recommandations à la population.

Systèmes Nationale d'Inventaires des Emissions de Polluants Atmosphériques.

Formule chimique du dioxyde de soufre.

Substance capable de dissoudre un corps, et qui sert généralement de diluant ou de dégraissant.

Cause ou origine de quelque chose (en l'occurrence de pollutions) qui reste à la même place, qui ne bouge pas.

Cause ou origine de quelque chose (en l'occurrence de pollutions) qui se déplace.

Secrétariat Permanent pour la Prévention des Pollutions Industrielles.

Schéma Régional Climat Air Energie.

Local fermé où sont installés des analyseurs de mesure de polluants.

Sa source de pollution est linéaire, due principalement aux transports routiers.

Ses sources de pollution sont diverses, générées par divers émetteurs.

Sa source de pollution est ponctuelle, fixe ou dans une zone industrielle linéaire, l’émission étant générée par une activité industrielle (y compris le traitement des déchets) : extraction, transformation d’énergie et distribution.

Ses sources de pollution sont de type surfaciques, générées par de multi-émetteurs (transport, chauffage, industrie), par les secteurs du résidentiel, tertiaire, commercial, institutionnel, de même que les transports routiers, les modes de transport autres que routiers, l’industrie y compris le traitement des déchets. Les émissions proviennent de l’intérieur ou de l’extérieur de la zone surveillée.

Ses sources de pollution sont de type surfaciques non régionales, générées par de multi-émetteurs (transport, chauffage, industrie) à longue distance. Aucun émetteur direct n’influe sur la station.

Ses sources de pollution sont de type surfaciques régionales, générées par de multi-émetteurs (transport, chauffage, industrie), par les secteurs du résidentiel, tertiaire, commercial, institutionnel, de même que les transports routiers, les modes de transport autres que routiers, l’industrie y compris le traitement des déchets. Les émissions proviennent en majorité de l’extérieur de la zone surveillée.

Ses sources de pollution sont de type surfaciques, générées par de multi-émetteurs (transport, chauffage, industrie), par les secteurs du résidentiel, tertiaire, commercial, institutionnel, de même que les transports routiers, les modes de transport autres que routiers, l’industrie y compris le traitement des déchets. Les émissions sont plutôt à l’intérieur de la zone urbaine.

Station d'épuration.

Seconde couche de l'atmosphère terrestre, se situant au-dessus de la troposphère. La stratosphère est située entre 12 et 50 km d'altitude en moyenne par rapport à la surface de la Terre.

Taxe parafiscale payée par les entreprises concernées, Taxe Générale sur les Activités Polluantes.

(C7H8) hydrocarbure aromatique liquide employé comme solvant et détachant, ainsi que dans la préparation de colorants, de médicaments et du T.N.T. (trinitrotoluène).

Particules totales en suspension.

Usine d’Incinération d’Ordures Ménagères.

Valeur fixée dans le but d’éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs de ces substances pour la santé humaine ou pour l’environnement dans son ensemble, à atteindre, dans la mesure du possible dans un délai donné.

Valeur à ne pas dépasser dans le but d’éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs de ces substances pour la santé humaine ou pour l’environnement dans son ensemble.

Vitesse Maximale Autorisée.

C6H4(CH3)2, carbure benzénique extrait du pétrole et du gaz naturel, et qui sert à fabriquer des plastifiants, des résines synthétiques et des fibres polyesters.

Formule chimique du zinc.